Il y a seulement .... déjà... 40 ans, je suis venu en France, bonjour troisième millénaire ...
Montreuil, mercredi 15 janvier 2014, 13h57
Bonjour TEMPS troisième millénaire qui passe en tic tac tic
sans relâche, sans pose, en émanation des propositions radiantes, comme le soleil qui travaille et tourne comme le danseur cosmique; je me demande ... et en suis sur que le temps et plus vieux que le soleil.
nous comptant actuellement jusqu'à 2014 .;.
hm hhhh mmmm
Tribuana = trois mondes,
le monde du ciel, terre et entre ces deux,
yes, héy smile
Hier soir, mardi , 14 janvier 2014, j'ai partager le texte de la Conférence des Oiseaux, par mail, à une personne actrice retraité comme moi, et des secrets se révèle encore, et encore ....
Ce texte est déjà devenu un texte de le "must" pour mes stagiaires de théâtre, voie Tribuana, car non seulement il est le première texte à étranger que j'ai joué, avec Peter Brook dans sa compagnie cette époque CIRT (Centre Internationale de Recherche Théâtrale), en 1979 qui m'embarqué dans une aventure de 4 pièces de création jusqu'à 1991: "Certificat" ou l'Os de Morlam", "La Conférence des Oiseaux", "Carmen", le Mahabharata".
voici en première partage pour l'air du troisième millénaire, mon offrande journalière ce matin à pris une forme de texte, au commencement:
Sur terre rien n’est étranger
Sous terre, le silence parle étrangement
Je suis venu en terre de France en Février 1974, avec une
troupe de spectacle Java-Bali d’Indonésie : « La Sorcière de
Dirah » de Choréographe Javanais Sardono W.Kusumo, 30 danceur, acteur,
musician, chateuse&chateur de Java & Bali, parmi eux 4 enfants de Bali
de 10-11 ans, en tournée European invité par Jacques Lang, directeur du théâtre
de Palais de Chaillot à Paris.
La parole du personnage du spectacle à servir, en 1979, avec
Peter Brook dans la Conférence des Oiseaux, ou, en ce temps là je ne parlé pas
encore le beau français que j’admire, étant entendu pour première fois à Kuta
Beach, la plage de Kuta, comme le chuchotement de vent du printemps parfumé de
poésie enivrante ……, la une seule parole que j’ai le bonheur comme droit de
pronoucer en Europe, Amérique, Australie, c’est :
«Qouiatttza, douing cek que douing que douing que
douiiiinggggg, quoiaaaatttt sszaaa, ….
que faites-vous là ? Réveillez vous ! !!!
Vous êtes en grand danger ! »
Dans le premier spectacle « Certificat » ou
« l’Os de Morlam », il faut savoir que « La Conférence et l’Os » sont deux spectacle en
un seule bouquet de fleur à offrir pour la pensée prolonger du spectateur
pressé, ceux qui ont envie de comprendre avec sa tête, si prématuré, on sait
par la suite c’est du jaillissement précoce peut se produire, si le temps de
réflexion ne rend pas mûrir la récolte, dont la mort est certain pour celui qui
né, ….. et ma deuxième phrase dans « l’Os de Morlam » c’est:
« Je suis Abdou Djamba, l’Ange de la mort. Tous ceux
qui sont là, sont mort, tu es là, donc tu es mort »
Voilà, en me réveillant un beau matin à 4 heures, mercredi
15 janvier 2014, avant d’amener ma fille en voiture à l’école, un souvenir
souriant m’aventure, qui devenu un sourire intérieur m’a réveillé un conscient
éclairante ou illuminant.
La leçon a pris 40 ans pour récolter tell interprétation
lumineuse à vie, éclairant tout envie, dans l’espoir ne pas égarer pour la
suite du voyage de pensée, en voyant quoi que se soit, en entendant un son, le
bruit ou l’éloge, ou moquerie, l’âme, lanterne interne, que l’âme sur terre
sont dans la voie de bien vaillance.
La vie, le temps, Word, internet, Google, Wikipedia, toi qui
est là sans que je vois, tous sont mon maître, c’est à moi de voir en soi tell
ou tell qualité en matière. Ainsi l’acteur venu et travaille en croissance pour
réveiller la matière qui dort, matière morte, son corps marionnette qui l’anime
sans cesse avec quoi ? Avec quoi réveiller et mis à forme se corps,
véhicule de l’âme ? Mis à
forme, mis en vie mis en scène sur ce plateau de la terre bleue inondée de l’eau
bénite du ciel rayonnante, soleil, rondeur d’origine de tout cosmos, macro ou
micro que tu sois, cosmos, je m’osmose perpétuellement en temps, lieu et
situation. Mille fois déjà tombé, mille et une fois encore debout, me voici,
toujours me senti comme un débutant, d’un bout à l’autre bout, le voyage de
mille lieu s’initie par un pas, un bon pas, le moitié du chemin. Avant de
sourire et s’unir dans son propre chemin, voir la voie qui nous attente, c’est
aussi le fruit de réflexion du passé. L’expérience, un feuille morte d’automne,
retourne à la terre nourricière, pour mieux posé allongé par terre, contempler
l’étoile de nuit reflétant la lumière du soleil de jour, pour ceux du côté
oppose du globe. Ce voyage avec mon corps qui mérite le bon soin, que
fais-je ? Véhicule particule particulier, vortex volant ou l’aile délicate
fragile de libellule, jambe du glacière, patte de mammouth ou mastodonte, oh deux chevaux aux quatre ailes, aimerais voyage dans le monde du temps,
du commencement à la rive final, comment poser ce corps transportant mes
caprice et mes bonhomme de chemin, bonze, est tu là ? Quand ta lanterne
scintillante dans la nuit claire obscure, le doute balayer, oh bonze, je me
vois assez bon en toi autant que le silence immobile ment lumineuse parfumer
d’odeur de sérénité calme, âme en pose se recompose par sa suite
naturellement.
Ainsi travaille les intermittent, même dans son temps de
retraite officielle, toujours en réclamation de boulot, du travail, et du
travail qui nourrir son « trois mondes » : Tribuana, maintenant
c’est mon enfant, mon maître, qui sans cesse émettre la connaissance, mes
élèves qui me portent chose importante qui me soulevé, mon chemin, ma voie, ma
compagnon de route, voyager l’envie dans ce plateau du théâtre de la vie.
Il y a un morceaux de temps qui se répète en rituel sacré,
il y a un abondant de temps se gaspille en travail précipité par l’énergie de
débarra, abra caka dabra. Débarrasser des travaux embarrassants, se détermine
en avant par la pensée déterminant. Une décision, c’est le fruit mur par le
temps de …… travail, expérience, réflexion, considération, intelligence utile
appliquée. Paramètre déterminant, flocon de tamisage d’expérience de travail
accomplit, travail en trois mondes pour être complet et total avec son être.
L’élément de soi, se nomme comment ? Du nom la porte
s’ouvre, par l’ouverture le passage se créer, l’entrée et la sortie. Si le soi
aussi ailler, on n’a donc pas besoin de porte ? La vie ou la morte ?
Qui suit ? Que suis-je ?
Je suis celui qui suit, donc j’y suis, ici maintenant,
marche, nage, vole, voyager et goutter mastiquer le travail en plaisir, plaisir
à trouver dans ce trou de temps. Content où triste, le pas en avant, oo é
machiniste, il n’y a plus des rideaux à écarter. Cette machine corporelle,
combien de temps qu’il exécute déjà des actions machinales par conscience ou
inadvertance ou ignorance. Qui dorme en soi ? Ce métro boulot dodo nous
bercent machinalement ? TVA, impôt, contravention ? Affaire privé non
atteinte ? Visa de carte en dépense ? Rituel de rouspétâtes en
passage. Camion de poubelle passe le matin, il est temps que le sourire du
chemin fleurir ? Manque de soleil ? Pourquoi ne commence pas par
réveiller notre propre soleil familial, en soi ?