Tapasudana

Balinese actor, giving workshop theatre Tribuana, live in Montreuil now, in France since 1974; Contact Skype: tapasudana

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Actor from Bali, Indonesia live in France since 1974, born in Bali 1945, contact: tapasudana45@gmail.com ; Créateur Serviteur émetteur de http://theatretribuana.blogspot.com/2008/05/eveiller-et-cultiver-lexpression-des.html

Wednesday, January 15, 2014

Il y a seulement .... déjà... 40 ans, je suis venu en France, bonjour troisième millénaire ...


Montreuil, mercredi 15 janvier 2014, 13h57
Bonjour TEMPS troisième millénaire qui passe  en tic tac tic
sans relâche, sans pose, en émanation des propositions radiantes, comme le soleil qui travaille et tourne comme le danseur cosmique; je me demande ... et en suis sur que le temps et plus vieux que le soleil.
nous comptant actuellement jusqu'à 2014 .;.

hm hhhh mmmm
Tribuana = trois mondes,
le monde du ciel, terre et entre ces deux,
yes, héy smile

Hier soir, mardi , 14 janvier 2014, j'ai partager le texte de la Conférence des Oiseaux, par mail, à une personne actrice retraité comme moi, et des secrets se révèle encore, et encore ....
Ce texte est déjà devenu un texte de le "must" pour mes stagiaires de théâtre, voie Tribuana, car non seulement il est le première texte à étranger que j'ai joué, avec Peter Brook dans sa compagnie cette époque CIRT (Centre Internationale de Recherche Théâtrale), en 1979 qui m'embarqué dans une aventure de 4 pièces de création jusqu'à 1991: "Certificat" ou l'Os de Morlam", "La Conférence des Oiseaux",   "Carmen", le Mahabharata".

voici en première partage pour l'air du troisième millénaire, mon offrande journalière ce matin à pris une forme de texte, au commencement:
Sur terre rien n’est étranger
Sous terre, le silence parle étrangement

Je suis venu en terre de France en Février 1974, avec une troupe de spectacle Java-Bali d’Indonésie : « La Sorcière de Dirah » de Choréographe Javanais Sardono W.Kusumo, 30 danceur, acteur, musician, chateuse&chateur de Java & Bali, parmi eux 4 enfants de Bali de 10-11 ans, en tournée European invité par Jacques Lang, directeur du théâtre de Palais de Chaillot à Paris.
La parole du personnage du spectacle à servir, en 1979, avec Peter Brook dans la Conférence des Oiseaux, ou, en ce temps là je ne parlé pas encore le beau français que j’admire, étant entendu pour première fois à Kuta Beach, la plage de Kuta, comme le chuchotement de vent du printemps parfumé de poésie enivrante ……, la une seule parole que j’ai le bonheur comme droit de pronoucer en Europe, Amérique, Australie, c’est  :
«Qouiatttza,  douing cek que douing que douing que douiiiinggggg, quoiaaaatttt sszaaa, ….
que faites-vous là ? Réveillez vous ! !!! Vous êtes en grand danger ! »

Dans le premier spectacle « Certificat » ou « l’Os de Morlam », il faut savoir que  « La Conférence et l’Os » sont deux spectacle en un seule bouquet de fleur à offrir pour la pensée prolonger du spectateur pressé, ceux qui ont envie de comprendre avec sa tête, si prématuré, on sait par la suite c’est du jaillissement précoce peut se produire, si le temps de réflexion ne rend pas mûrir la récolte, dont la mort est certain pour celui qui né, ….. et ma deuxième phrase dans « l’Os de Morlam » c’est:
« Je suis Abdou Djamba, l’Ange de la mort. Tous ceux qui sont là, sont mort, tu es là, donc tu es mort »

Voilà, en me réveillant un beau matin à 4 heures, mercredi 15 janvier 2014, avant d’amener ma fille en voiture à l’école, un souvenir souriant m’aventure, qui devenu un sourire intérieur m’a réveillé un conscient éclairante ou illuminant.

La leçon a pris 40 ans pour récolter tell interprétation lumineuse à vie, éclairant tout envie, dans l’espoir ne pas égarer pour la suite du voyage de pensée, en voyant quoi que se soit, en entendant un son, le bruit ou l’éloge, ou moquerie, l’âme, lanterne interne, que l’âme sur terre sont dans la voie de bien vaillance. 

La vie, le temps, Word, internet, Google, Wikipedia, toi qui est là sans que je vois, tous sont mon maître, c’est à moi de voir en soi tell ou tell qualité en matière. Ainsi l’acteur venu et travaille en croissance pour réveiller la matière qui dort, matière morte, son corps marionnette qui l’anime sans cesse avec quoi ? Avec quoi réveiller et mis à forme se corps, véhicule de l’âme ?  Mis à forme, mis en vie mis en scène sur ce plateau de la terre bleue inondée de l’eau bénite du ciel rayonnante, soleil, rondeur d’origine de tout cosmos, macro ou micro que tu sois, cosmos, je m’osmose perpétuellement en temps, lieu et situation. Mille fois déjà tombé, mille et une fois encore debout, me voici, toujours me senti comme un débutant, d’un bout à l’autre bout, le voyage de mille lieu s’initie par un pas, un bon pas, le moitié du chemin. Avant de sourire et s’unir dans son propre chemin, voir la voie qui nous attente, c’est aussi le fruit de réflexion du passé. L’expérience, un feuille morte d’automne, retourne à la terre nourricière, pour mieux posé allongé par terre, contempler l’étoile de nuit reflétant la lumière du soleil de jour, pour ceux du côté oppose du globe. Ce voyage avec mon corps qui mérite le bon soin, que fais-je ? Véhicule particule particulier, vortex volant ou l’aile délicate fragile de libellule, jambe du glacière, patte de mammouth ou mastodonte,  oh deux chevaux aux quatre ailes,  aimerais voyage dans le monde du temps, du commencement à la rive final, comment poser ce corps transportant mes caprice et mes bonhomme de chemin, bonze, est tu là ? Quand ta lanterne scintillante dans la nuit claire obscure, le doute balayer, oh bonze, je me vois assez bon en toi autant que le silence immobile ment lumineuse parfumer d’odeur de sérénité calme, âme en pose se recompose par sa suite naturellement.           

Ainsi travaille les intermittent, même dans son temps de retraite officielle, toujours en réclamation de boulot, du travail, et du travail qui nourrir son « trois mondes » : Tribuana, maintenant c’est mon enfant, mon maître, qui sans cesse émettre la connaissance, mes élèves qui me portent chose importante qui me soulevé, mon chemin, ma voie, ma compagnon de route, voyager l’envie dans ce plateau du théâtre de la vie.

Il y a un morceaux de temps qui se répète en rituel sacré, il y a un abondant de temps se gaspille en travail précipité par l’énergie de débarra, abra caka dabra. Débarrasser des travaux embarrassants, se détermine en avant par la pensée déterminant. Une décision, c’est le fruit mur par le temps de …… travail, expérience, réflexion, considération, intelligence utile appliquée. Paramètre déterminant, flocon de tamisage d’expérience de travail accomplit, travail en trois mondes pour être complet et total avec son être.
L’élément de soi, se nomme comment ? Du nom la porte s’ouvre, par l’ouverture le passage se créer, l’entrée et la sortie. Si le soi aussi ailler, on n’a donc pas besoin de porte ? La vie ou la morte ? Qui suit ? Que suis-je ?

Je suis celui qui suit, donc j’y suis, ici maintenant, marche, nage, vole, voyager et goutter mastiquer le travail en plaisir, plaisir à trouver dans ce trou de temps. Content où triste, le pas en avant, oo é machiniste, il n’y a plus des rideaux à écarter. Cette machine corporelle, combien de temps qu’il exécute déjà des actions machinales par conscience ou inadvertance ou ignorance. Qui dorme en soi ? Ce métro boulot dodo nous bercent machinalement ? TVA, impôt, contravention ? Affaire privé non atteinte ? Visa de carte en dépense ? Rituel de rouspétâtes en passage. Camion de poubelle passe le matin, il est temps que le sourire du chemin fleurir ? Manque de soleil ? Pourquoi ne commence pas par réveiller notre propre soleil familial, en soi ?

(à suivre.?... je reviens ... il y a aussi ceci à kliquer ) si vous avec le temps 




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